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Le Sprinto à l'usage

Le hors-bord : la notice Archambault autorise jusqu'à 6CV. Pour ma part, j'ai un Mercury 3CV 2 temps qui jusqu'à présent m'a toujours suffit y compris contre courant dans le Bassin d'Arcachon. L'avantage du 2 temps : le poids et la possibilité de coucher le moteur dans tous les sens. L'inconvénient : ça pollue davantage que le 4 temps et c'est d'ailleurs pour ça que ce n'est plus en vente...  

Quand je fais l'hivernage du moteur moi-même
Le réglage du gréement : il est bon de s'intéresser à la tension des haubans et bas-haubans pour optimiser le rendement des voiles et préserver le mât.  

Récit de mon parcours initiatique sur le sujet
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La sécurité : pas grand chose à dire tant le bateau est tolérant. Pour avoir testé le départ au lof avec une écoute de spi coincée : le bateau s'est calé un liston à fleur d'eau et attendu que j'aille sous le vent défaire le noeud impromptu responsable du cafouillage.

Sinon, ne pas manquer le bon papier sur l'application de la réglementation française sur le site de l'association SprintoClub.

La préparation du bateau : quelques options qui préservent le canot et le capitaine d'une usure prématurée... . Voir le détail.
Réglages des voiles : voir les dossiers de l'association SprintoClub avec notamment les conseils de la voilerie Starvoiles.
En remorque : le Sprinto est facilement transportable. A noter qu'avec 700Kg de bateau et autour de 200 Kg de remorque, il faut tout de même prévoir un véhicule de gabarit correct pour un gros trajet routier.

Pour tous les bons conseils et notamment les contraintes de sécurité et de permis, je conseille le bon dossier de Nautical Trek.